Présent à l’atelier inaugural de l’IFES à Conakry, Amadou Barry, président de l’Union Citoyenne pour l’Émergence de la Guinée (UCEG), a mis en lumière le rôle clé de la société civile dans les réformes électorales. Cette rencontre visait à définir des stratégies pour renforcer la transparence et l’inclusivité du processus démocratique en Guinée.
Cet événement, tenu à Conakry, a rassemblé des représentants de la société civile, des cadres du ministère de l’Administration du Territoire et de la Décentralisation (MATD), et d’autres acteurs pour échanger sur les processus électoraux en Guinée.
Amadou Barry, président de l’UCEG, a représenté son organisation à cette rencontre qui visait à renforcer les réformes électorales et à promouvoir un système démocratique plus inclusif et transparent.
À sa sortie de la session, Amadou Barry a expliqué les enjeux de l’atelier. Il a déclaré : « L'objectif principal était de rassembler les organisations de la société civile pour discuter et définir des stratégies visant à renforcer les réformes électorales dans notre pays et à améliorer notre système démocratique. »
Soulignant le rôle central de la société civile, il a ajouté : « Il est impératif d’associer les acteurs de la société civile aux enjeux électoraux. Ces organisations jouent un rôle crucial dans la sensibilisation, l’éducation des citoyens et la surveillance des processus électoraux. Cet atelier a permis d’établir un cadre de collaboration entre l’IFES et les organisations de la société civile afin de promouvoir des réformes inclusives et transparentes. »
Cette initiative marque un pas important vers une meilleure implication de la société civile dans le processus électoral guinéen. L’UCEG, par la voix de son président, réitère son engagement à travailler pour une démocratie participative et un renforcement des mécanismes de transparence électorale en Guinée.