Une Journée de reconnaissance et de soutien aux acquis du président Mamadi Doumbouya s’est tenue ce samedi 10 mai 2025 à Conakry, à l’initiative du secteur privé guinéen. L'événement a rassemblé plusieurs acteurs institutionnels et économiques, parmi lesquels le secrétaire général à la Présidence, les membres du CNRD, la Chambre de commerce, d’industrie et d’artisanat de Guinée (CCIAG), la Confédération générale des entreprises de Guinée (CGE-GUI) et la Chambre nationale d’agriculture.
Dans son discours d’ouverture, le président de la CCIAG, Elhadj Mamadou Baldé, a rappelé l'importance du secteur privé dans l'économie nationale.

« En Guinée, notre secteur privé génère plus de 60 % des emplois non agricoles et contribue à près de 50 % du Produit Intérieur Brut. Le potentiel est là, il est réel, et il ne demande qu’à être valorisé par un accompagnement stratégique et une vision claire », a-t-il déclaré.
Il a également salué l'engagement du chef de l'État en faveur des entreprises, avant de renouveler, au nom de toutes les composantes du secteur privé, un « soutien indéfectible » au président Mamadi Doumbouya.
Prenant la parole à son tour, Ansoumane Kaba, président de la CGE-GUI, a exprimé l’adhésion totale des chefs d’entreprise à la vision économique du président.
« En organisant cette journée, la CGE-GUI, la CCIAG et la Chambre nationale d’agriculture tiennent à saluer une politique qui place l’entreprise au cœur du développement. À ce titre, permettez-moi de vous demander, Monsieur le Premier ministre, de transmettre à Son Excellence le Président de la République l’engagement sans faille du secteur privé à œuvrer pour le développement économique et social de notre pays », a-t-il affirmé.
Enfin, le secrétaire général à la Présidence, Amara Camara, a adressé un message fort aux acteurs économiques, les invitant à jouer un rôle plus actif dans l'amélioration du quotidien des Guinéens.
« Vous le faites déjà, mais nous ne cesserons jamais de vous encourager à aller plus loin. Il s’agit d’agir concrètement pour alléger le panier de la ménagère. Un pays développé, une économie forte, cela commence par ce qu’il y a dans l’assiette. L’État et le secteur privé en sont les garants », a-t-il insisté.
Alseny Dine CAMARA