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𝗩𝘂𝗹𝗴𝗮𝗿𝗶𝘀𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱𝘂 𝗽𝗿𝗼𝗷𝗲𝘁 𝗱𝗲 𝗻𝗼𝘂𝘃𝗲𝗹𝗹𝗲 𝗰𝗼𝗻𝘀𝘁𝗶𝘁𝘂𝘁𝗶𝗼𝗻 : « 𝗖’𝗲𝘀𝘁 𝘂𝗻𝗲 𝗮𝗰𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗰𝗶𝘃𝗶𝗾𝘂𝗲, 𝘁𝗼𝘂𝘁 𝗹𝗲 𝗺𝗼𝗻𝗱𝗲 𝗲𝘀𝘁 𝗰𝗼𝗻𝗰𝗲𝗿𝗻é » : 𝗹𝗲 𝗣𝗿𝗲𝗺𝗶𝗲𝗿 𝗺𝗶𝗻𝗶𝘀𝘁𝗿𝗲 𝗔𝗺𝗮𝗱𝗼𝘂 𝗢𝘂𝗿

𝗩𝘂𝗹𝗴𝗮𝗿𝗶𝘀𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱𝘂 𝗽𝗿𝗼𝗷𝗲𝘁 𝗱𝗲 𝗻𝗼𝘂𝘃𝗲𝗹𝗹𝗲 𝗰𝗼𝗻𝘀𝘁𝗶𝘁𝘂𝘁𝗶𝗼𝗻 : « 𝗖’𝗲𝘀𝘁 𝘂𝗻𝗲 𝗮𝗰𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗰𝗶𝘃𝗶𝗾𝘂𝗲, 𝘁𝗼𝘂𝘁 𝗹𝗲 𝗺𝗼𝗻𝗱𝗲 𝗲𝘀𝘁 𝗰𝗼𝗻𝗰𝗲𝗿𝗻é » : 𝗹𝗲 𝗣𝗿𝗲𝗺𝗶𝗲𝗿 𝗺𝗶𝗻𝗶𝘀𝘁𝗿𝗲 𝗔𝗺𝗮𝗱𝗼𝘂 𝗢𝘂𝗿

Conakry, 14 juillet 2024 – Le Premier ministre, Chef du Gouvernement, Amadou Oury BAH, a échangé avec le personnel de la Primature dans la salle de l’auditorium. Cette rencontre visait à présenter les innovations contenues dans le projet de nouvelle Constitution et à sensibiliser les cadres sur leur rôle dans sa compréhension et sa diffusion.

Le Chef du Gouvernement a rappelé que ce texte est le fruit d’un processus transversal et inclusif. Il constitue une réponse aux faiblesses de gouvernance ayant conduit à des instabilités dans le passé. « Tirer les leçons de l’histoire pour construire une République plus stable, plus cohésive et résolument tournée vers l’avenir. C’est la Constitution de la Guinée d’aujourd’hui et de demain qui régira les institutions et garantira la stabilité dans la durée », a-t-il déclaré.

Le Premier ministre a invité les cadres à s’approprier le texte, à en comprendre les articulations et à savoir en expliquer les points essentiels, notamment les éléments rassurants. Il a insisté sur une communication dépersonnalisée, centrée sur l’intérêt général.

« On ne peut pas aller ailleurs sans le faire d’abord avec nos proches collaborateurs », a-t-il souligné.

La campagne de vulgarisation, a-t-il précisé, repose sur deux étapes clés : « une appropriation individuelle du texte, suivie de sa diffusion auprès des citoyens. Cette mission incombe à tous les agents publics, en particulier ceux investis d’un rôle d’influence ».

Il a par ailleurs rappelé que le Président de la République a confié au gouvernement la responsabilité de vulgariser le texte afin de démontrer que la majorité des citoyens a été consultée.

En conclusion, le Premier ministre a appelé à un engagement civique et collectif. Informer, expliquer, rassurer, vulgariser : tels sont les mots d’ordre. « Participer à cette œuvre, c’est contribuer à écrire l’histoire de notre République dans une lecture la plus objective possible », a-t-il affirmé.